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Edouard SALMON

A propos

Edouard Salmon propose une créativité photographique qui donne le vertige. Là-haut il capte ce que l'on ne voit jamais. Un monde de plats, de lignes et de couleurs qui offre des images rares, parfois surprenantes, toujours graphiques et tellement esthétiques. L'altitude révèle l'essentiel, gomme l'indésirable, crée des tableaux épurés, des mouvements figés de verticalité, fondus dans un théâtre de beauté.

Les mots de l’auteur

Passionné d’images depuis toujours, je découvre le monde du drone et de la photographie aérienne en 2017. La formation de télépilote de drone professionnel en poche, je démarre mon activité de photographe pro à l’aube de l’année 2019. Le drone me permet d'exprimer une identité visuelle marquée en donnant de la hauteur à ma créativité. J'essaie de transmettre de l'émotion sous un nouvel angle, original et inattendu.

Interview express

WILDER WALL : Qu’est-ce qui t’a amené à la photo et plus particulièrement à la photo aérienne (drone) ?

Edouard SALMON : J’ai toujours été passionné par l’image, depuis que je suis petit. D’abord par le dessin, puis le graphisme, les montages vidéos… J’ai découvert la photographie un peu plus tardivement, et à l’inverse de la plupart de mes confrères photographes, j’ai commencé par la photographie aérienne. En 2017, on m’offre un petit drone « gadget », équipé d’une toute petite caméra de très mauvaise qualité. J’ai instantanément été fasciné. Au bout de quelques semaines, je m’équipe d’un drone un peu plus performant, puis au bout de quelques mois, d’un DJI Phantom, drone volumineux qui lui possède une caméra digne de ce nom. Je démarre ainsi la photographie, directement par la photographie aérienne. 

Comment définirais-tu ton style photographique ? Que recherches-tu en particulier dans tes images ?

Mon style photographique est d’abord défini par l’angle d’inclinaison de ma caméra : toujours à la verticale, à 90°. Toutes mes images sont donc des « Top Down » ou « Top Shots » comme on les appelle en photographie aérienne. Il n’y a que le drone qui peut offrir ce genre d’image. Ensuite, j’ai un style très graphique, épuré, presque minimaliste. Je me base beaucoup sur les lignes directrices, la géométrie au sol et sur les ombres pour composer mes images.

La photo pour toi c’est une passion, une intention artistique, une façon d’être dehors, dans la nature et près de l’action … ?

C’est mon moyen d’expression favori, la manière pour moi de montrer des choses simples qui nous entourent sous un nouvel angle, comme si l’on était un oiseau qui volait par là. Un paysage, un champs, un terrain de sport, un sportif, tout prend une dimension complètement différente vu du ciel, et mêmes les choses les plus simples peuvent prendre une dimension artistique forte. Donc pour moi, la photo, c’est révéler l’artistique dans tout ce qui nous entoure. 

Quelles sont les difficultés pour réaliser une bonne photo outdoor aérienne ? Observation, connaissance, météo, technique … ?

La principale difficulté c’est la lumière. Déjà, on est tributaire de la météo, puisque notre activité est essentiellement en extérieur et qu’il est peu voire pas recommandé de voler sous la pluie, en cas de fort vents, etc. Quand on est à la recherche, comme moi, d’ombres bien spécifiques, bien orientées, bien dimensionnées, il faut également prendre en compte la hauteur du soleil au moment de la séance photo, hauteur qui change en fonction des saisons également. C’est donc un paramètre important qui joue sur le rendu final de la photo. Si pas de soleil, pas de lumière, donc pas d’ombre, donc photo difficilement exploitable pour moi. On doit également faire avec l’ensemble des contraintes légales pour voler sur un point donné. Il faut donc faire coïncider les autorisations de vol avec la météo, et bien évidemment avec le sujet à photographier. 

As-tu des spots ou des sujets photographiques emblématiques ? 

J’en ai plusieurs. La Côte Vendéenne est pour moi un terrain de jeu presque infini. Surfeurs, dunes de sable, forêts, rochers, tout change en fonction des saisons des marées.. Et à chaque fois, le rendu sur les photos est différent.

Le sport en général, en photographie aérienne. Nous ne sommes pas nombreux à le traiter en drone, et c’est un de mes sujets favoris. J’en ai même fait, un livre, "le Sport vu du ciel", qui rassemble plus de 200 photos de sport en drone que j’ai pris à travers toute la France.

La photo parfaite pour toi, c’est quoi ?

Je ne sais pas si la photo parfaite existe. Du moins, une photo peut être parfaite pour moi mais pas pour les autres. Chaque photographe a sa vision et sa définition de la perfection.  Mais je dirai la photo sur laquelle on ne changerais rien, pas le moindre réglage, pas la moindre correction colorimétrique. J’ai une photo d’aviron prise à Annecy qui se rapproche de MA perfection. Je crois bien que je n’ai fait aucun post traitement dessus : la lumière, le sujet, le cadrage, la composition, le moment figé, tout était réuni. Mais au final, ce qui nous pousse en tant que photographe à toujours continuer à shooter ce qui nous entoure, c’est aussi parce que la photo parfaite n’existe pas, et qu’on essaye continuellement de s’en rapprocher.

Quels sont tes 3 photographes préférés, toutes catégories et générations ?

Petra Leary, Garett King, Marc Le Cornu.

Que ferais-tu dans la vie si tu n’étais pas photographe ?

Je travaillerais dans la communication et le sport je pense.

Nous cherchons tous l'émerveillement. Penses-tu que l’émerveillement photographique puisse être utile au monde ?

Oui, la photographie permet aux gens de s’évader, voyager, découvrir. Même si elle traite aussi souvent de sujets plus graves. Personnellement, je montre le monde qui nous entoure, même les choses les plus simples, sous un angle différent, pour provoquer la surprise et cet émerveillement.

Un dernier conseil pour améliorer notre relation à l’environnement et à la nature ?

Éviter de trop prendre l’avion pour être à la recherche DU spot photo que tout le monde a déjà photographié 1000 fois. C’est sympa de voyager de temps en temps, mais on a tellement de merveilles autour de nous, pas forcément besoin d’aller très loin ! 

Wild kite, Côte sauvage, Charente-maritime

Edouard SALMON

Coup de cœur

Interview express

WILDER WALL : Qu’est-ce qui t’a amené à la photo et plus particulièrement à la photo aérienne (drone) ?

Edouard SALMON : J’ai toujours été passionné par l’image, depuis que je suis petit. D’abord par le dessin, puis le graphisme, les montages vidéos… J’ai découvert la photographie un peu plus tardivement, et à l’inverse de la plupart de mes confrères photographes, j’ai commencé par la photographie aérienne. En 2017, on m’offre un petit drone « gadget », équipé d’une toute petite caméra de très mauvaise qualité. J’ai instantanément été fasciné. Au bout de quelques semaines, je m’équipe d’un drone un peu plus performant, puis au bout de quelques mois, d’un DJI Phantom, drone volumineux qui lui possède une caméra digne de ce nom. Je démarre ainsi la photographie, directement par la photographie aérienne. 

Comment définirais-tu ton style photographique ? Que recherches-tu en particulier dans tes images ?

Mon style photographique est d’abord défini par l’angle d’inclinaison de ma caméra : toujours à la verticale, à 90°. Toutes mes images sont donc des « Top Down » ou « Top Shots » comme on les appelle en photographie aérienne. Il n’y a que le drone qui peut offrir ce genre d’image. Ensuite, j’ai un style très graphique, épuré, presque minimaliste. Je me base beaucoup sur les lignes directrices, la géométrie au sol et sur les ombres pour composer mes images.

La photo pour toi c’est une passion, une intention artistique, une façon d’être dehors, dans la nature et près de l’action … ?

C’est mon moyen d’expression favori, la manière pour moi de montrer des choses simples qui nous entourent sous un nouvel angle, comme si l’on était un oiseau qui volait par là. Un paysage, un champs, un terrain de sport, un sportif, tout prend une dimension complètement différente vu du ciel, et mêmes les choses les plus simples peuvent prendre une dimension artistique forte. Donc pour moi, la photo, c’est révéler l’artistique dans tout ce qui nous entoure. 

Quelles sont les difficultés pour réaliser une bonne photo outdoor aérienne ? Observation, connaissance, météo, technique … ?

La principale difficulté c’est la lumière. Déjà, on est tributaire de la météo, puisque notre activité est essentiellement en extérieur et qu’il est peu voire pas recommandé de voler sous la pluie, en cas de fort vents, etc. Quand on est à la recherche, comme moi, d’ombres bien spécifiques, bien orientées, bien dimensionnées, il faut également prendre en compte la hauteur du soleil au moment de la séance photo, hauteur qui change en fonction des saisons également. C’est donc un paramètre important qui joue sur le rendu final de la photo. Si pas de soleil, pas de lumière, donc pas d’ombre, donc photo difficilement exploitable pour moi. On doit également faire avec l’ensemble des contraintes légales pour voler sur un point donné. Il faut donc faire coïncider les autorisations de vol avec la météo, et bien évidemment avec le sujet à photographier. 

As-tu des spots ou des sujets photographiques emblématiques ? 

J’en ai plusieurs. La Côte Vendéenne est pour moi un terrain de jeu presque infini. Surfeurs, dunes de sable, forêts, rochers, tout change en fonction des saisons des marées.. Et à chaque fois, le rendu sur les photos est différent.

Le sport en général, en photographie aérienne. Nous ne sommes pas nombreux à le traiter en drone, et c’est un de mes sujets favoris. J’en ai même fait, un livre, "le Sport vu du ciel", qui rassemble plus de 200 photos de sport en drone que j’ai pris à travers toute la France.

La photo parfaite pour toi, c’est quoi ?

Je ne sais pas si la photo parfaite existe. Du moins, une photo peut être parfaite pour moi mais pas pour les autres. Chaque photographe a sa vision et sa définition de la perfection.  Mais je dirai la photo sur laquelle on ne changerais rien, pas le moindre réglage, pas la moindre correction colorimétrique. J’ai une photo d’aviron prise à Annecy qui se rapproche de MA perfection. Je crois bien que je n’ai fait aucun post traitement dessus : la lumière, le sujet, le cadrage, la composition, le moment figé, tout était réuni. Mais au final, ce qui nous pousse en tant que photographe à toujours continuer à shooter ce qui nous entoure, c’est aussi parce que la photo parfaite n’existe pas, et qu’on essaye continuellement de s’en rapprocher.

Quels sont tes 3 photographes préférés, toutes catégories et générations ?

Petra Leary, Garett King, Marc Le Cornu.

Que ferais-tu dans la vie si tu n’étais pas photographe ?

Je travaillerais dans la communication et le sport je pense.

Nous cherchons tous l'émerveillement. Penses-tu que l’émerveillement photographique puisse être utile au monde ?

Oui, la photographie permet aux gens de s’évader, voyager, découvrir. Même si elle traite aussi souvent de sujets plus graves. Personnellement, je montre le monde qui nous entoure, même les choses les plus simples, sous un angle différent, pour provoquer la surprise et cet émerveillement.

Un dernier conseil pour améliorer notre relation à l’environnement et à la nature ?

Éviter de trop prendre l’avion pour être à la recherche DU spot photo que tout le monde a déjà photographié 1000 fois. C’est sympa de voyager de temps en temps, mais on a tellement de merveilles autour de nous, pas forcément besoin d’aller très loin ! 

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